Le neurofeedback NeurOptimal® est une méthode de neurofeedback innovante.
C’est un entraînement qui permet d’optimiser l’activité cérébrale, sans effort ni effet indésirable. C’est une approche globale dont les changements positifs peuvent s’observer dans de très nombreux domaines (anxiété, sommeil, compulsions, confiance en soi, bien-être général…)
NeurOptimal® est une technologie avancée conçue mathématiquement pour communiquer directement avec le système nerveux central, il utilise un algorithme exclusif.
NeurOptimal® n’est pas un traitement médical, mais un ENTRAÎNEMENT qui offre au système cérébral les informations nécessaires pour se réorganiser.
NeurOptimal® est une méthode 100% naturelle avec un recul de plus de 3 millions d’heures d’utilisation. Aux Etats-Unis, la FDA* l’a reconnue comme dispositif de bien-être.
*FDA : Food and Drug Administration (Autorité de Santé des USA).
Au début des années 60, Joe Kamiya fait les premières expériences qui vont montrer qu’une personne peut volontairement agir sur certains rythmes cérébraux.
C’est Barry Sterman, de l’université de Californie de Los Angeles qui confirmera au début des années 70 que l’on peut contrôler l’activité cérébrale à des fins thérapeutiques.
Dans les années 80, le Neurofeedback est utilisé pour accompagner des vétérans du Vietnam pour apaiser les états de choc post-traumatiques. Les résultats très encourageants ont permis de développer plusieurs protocoles.
Après avoir travaillé sur les appareils de première génération, les psychologues cliniciens Drs. Valdeane et Susan Brown créent en 2001 le système le plus avancé: NeurOptimal® et fondent l’Institut Zengar aux Etats Unis puis au Canada.
En France, Dynamical Neurofeedback® a été introduit en 2004, Dynamical Neurofeedback® est aujourd’hui utilisé par des milliers de personnes dans plus de 20 pays à travers le monde (USA, Canada…)
Sed fruatur sane hoc solacio atque hanc insignem ignominiam, quoniam uni praeter se inusta sit, putet esse leviorem, dum modo, cuius exemplo se consolatur, eius exitum expectet, praesertim cum in Albucio nec Pisonis libidines nec audacia Gabini fuerit ac tamen hac una plaga conciderit, ignominia senatus.
Altera sententia est, quae definit amicitiam paribus officiis ac voluntatibus. Hoc quidem est nimis exigue et exiliter ad calculos vocare amicitiam, ut par sit ratio acceptorum et datorum. Divitior mihi et affluentior videtur esse vera amicitia nec observare restricte, ne plus reddat quam acceperit; neque enim verendum est, ne quid excidat, aut ne quid in terram defluat, aut ne plus aequo quid in amicitiam congeratur.